Rêves : L'angoisse
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06072019
Rêves : L'angoisse
Sieste du 03/07 : A défaut d'une douce nuit, la sieste fut plus que réparatrice.
c'était il y a déjà trois jours, ma mémoire en a déjà effacé une partie...
On était chez moi, toute ma famille, et j’ai une sensation de foule. Il devait donc y avoir d’autres gens, pas dessinés par mon inconscient. Il me semble que c’était la fête, nous étions tous, ou en majeur partie dehors. Grosse sensation d’oppression, est-ce dû à toute cette masse difforme de gens ? Ou bien à l’atmosphère angoissante posée d’aplomb sur mon rêve ? En effet, ma mère était tendue, et comme d’habitude, je le ressens. Elle attendait un appel très important. Celui du neurochirurgien qui lui a fait passer l’IRM tant appréhendé. Personne ne savait qu’on attendait un verdict important. Elle vient peut être de là l’oppression : une attente effrayante, une angoisse portée seule. Il est hors de question de la transmettre à ma mère.
Elle n’a d’ailleurs pas l’air stressée pour un sous, même plutôt totalement indifférente. Cela me plonge dans l’incompréhension, dépassée par les événements. De plus, alors que jusqu'à présent la tumeur était sans conséquences, des symptômes commençaient à apparaître... Là c'était une douleur engendrée par le haussement de sourcilsl(a tumeur est sur l'avant du crâne, nous pouvons voir une excroissance).
Puis ma mère sort, le téléphone à l’oreille. Elle est alors sur le pallier de la porte avec mon beau père et toujours cette sensation de foule. Et là, j’entends tout. Ou bien je pose des questions, je ne sais plus… C’est alors que me parvient le verdict : c’est « un blome ». Je demande alors à ma mère qui m’explique que c’est une infection généralisée, particulièrement concentrée dans le crâne.
Et c’est le trou. Les idées se sont échappées, tout est flou.
Puis je me retrouve dans un autre décor, avec 2 autres filles, en combinaisons moulantes colorées. A la totallyspies. Une était en orange et l’autre en rouge, l’une contrôlait le feu et l’autre la foudre. Toutes deux flottaient légèrement au dessus du sol, l’air plus que sures d’elles, presque hautaines. J’avais également un pouvoir… mais je ne m’en rappelle plus…
Là je perds le contrôle et le fil de mon rêve. Il nous fallait lutter contre je ne sais plus quoi. J’ai des images d’un salon remplit de drôles d’animaux, d’un sol qui s’enfonce comme un escalier en colimaçon géant. Sur les marches trônaient des animaux en rages tels que des éléphants et des tigres. Mais ceux-ci étaient comme dessinés dans un style cartoon ou dessin animé, non pas réalistes. La scène a alors un coté grotesque. Coté qui contraste avec la noirceur du fond, la profondeur du trou et la dureté de l’action.
C’est vraiment étrange les images que j’ai en tête, rien est relié, une multitude d’images avec des éléments grotesques et incongrus, le tout dans une ambiance toujours plus oppressante, stressante et plus violente par les expressions des animaux par la profondeur de l’escalier etc.
Réveil
c'était il y a déjà trois jours, ma mémoire en a déjà effacé une partie...
On était chez moi, toute ma famille, et j’ai une sensation de foule. Il devait donc y avoir d’autres gens, pas dessinés par mon inconscient. Il me semble que c’était la fête, nous étions tous, ou en majeur partie dehors. Grosse sensation d’oppression, est-ce dû à toute cette masse difforme de gens ? Ou bien à l’atmosphère angoissante posée d’aplomb sur mon rêve ? En effet, ma mère était tendue, et comme d’habitude, je le ressens. Elle attendait un appel très important. Celui du neurochirurgien qui lui a fait passer l’IRM tant appréhendé. Personne ne savait qu’on attendait un verdict important. Elle vient peut être de là l’oppression : une attente effrayante, une angoisse portée seule. Il est hors de question de la transmettre à ma mère.
Elle n’a d’ailleurs pas l’air stressée pour un sous, même plutôt totalement indifférente. Cela me plonge dans l’incompréhension, dépassée par les événements. De plus, alors que jusqu'à présent la tumeur était sans conséquences, des symptômes commençaient à apparaître... Là c'était une douleur engendrée par le haussement de sourcilsl(a tumeur est sur l'avant du crâne, nous pouvons voir une excroissance).
Puis ma mère sort, le téléphone à l’oreille. Elle est alors sur le pallier de la porte avec mon beau père et toujours cette sensation de foule. Et là, j’entends tout. Ou bien je pose des questions, je ne sais plus… C’est alors que me parvient le verdict : c’est « un blome ». Je demande alors à ma mère qui m’explique que c’est une infection généralisée, particulièrement concentrée dans le crâne.
Et c’est le trou. Les idées se sont échappées, tout est flou.
Puis je me retrouve dans un autre décor, avec 2 autres filles, en combinaisons moulantes colorées. A la totallyspies. Une était en orange et l’autre en rouge, l’une contrôlait le feu et l’autre la foudre. Toutes deux flottaient légèrement au dessus du sol, l’air plus que sures d’elles, presque hautaines. J’avais également un pouvoir… mais je ne m’en rappelle plus…
Là je perds le contrôle et le fil de mon rêve. Il nous fallait lutter contre je ne sais plus quoi. J’ai des images d’un salon remplit de drôles d’animaux, d’un sol qui s’enfonce comme un escalier en colimaçon géant. Sur les marches trônaient des animaux en rages tels que des éléphants et des tigres. Mais ceux-ci étaient comme dessinés dans un style cartoon ou dessin animé, non pas réalistes. La scène a alors un coté grotesque. Coté qui contraste avec la noirceur du fond, la profondeur du trou et la dureté de l’action.
C’est vraiment étrange les images que j’ai en tête, rien est relié, une multitude d’images avec des éléments grotesques et incongrus, le tout dans une ambiance toujours plus oppressante, stressante et plus violente par les expressions des animaux par la profondeur de l’escalier etc.
Réveil
Océane- Messages : 53
Date d'inscription : 30/06/2019
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