Rêve : Le voyage
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13072019
Rêve : Le voyage
Nuit d'il y a longtemps, qui s'accompagne d'un rêve désordonné dont les souvenirs ont été effacés avec le temps
C'était le grand jour, je prenais l'avion pour mon S7. J'arrive à l'aéroport, représenté par la gare SNCF de chez moi, avec ma valise et... mon matelas. Je l'avais pris sous la panique, ayant peur d'oublier quelque chose, d'en avoir besoin. Je me rends compte alors de ma stupidité. J'appelle alors Camille qui était à proximité de l'aéroport afin qu'elle vienne m'aider. Je dois d'abord essuyer un refus catégorique d'une Camille blasée par ma demande. Elle ne veut pas encombrer son appartement de mon matelas pendant si longtemps. Elle finit par accepter, face à mon stress et mon désespoir et à repartir chez elle mon matelas sur le dos.
Je dois désormais trouver ma porte pour gagner l'embarquement. Je suis des panneaux comme je peux, de longs couloirs, comme une galerie commerciale. J’arrive au bout de l’aéroport, au bout du couloir, la dernière cafétéria, d’ailleurs très bien représentée dans mon rêve : grande baie vitrée, orange, noir et blanche, très conviviale . Et le couloir se termine en donnant sur l’extérieur, une étendue d’herbe sur laquelle attendaient les passagers et un petit avion à hélice. Mon avion pour le Sri Lanka.
Je ne sais pas comment mais là je me retrouve dans une salle assez sombre, une salle isolée de l’aéroport, lumière jaune artificielle et trois personnes. Deux femmes et un homme, une des femmes était le visage fermé, presque triste, et sort de la salle. C’était une salle de médecin chirurgical. L’homme était le chirurgien, j’étais là en rendez-vous pour une augmentation mammaire. Il me présente alors les prothèses pour discuter de la taille. Ambiance oppressante, encore. La femme était juste là, un regard incernable, entre la compassion, jugement et sournoiserie.
A nouveau, changement. Je suis dans une salle de spectacle, représentée par la salle de fête de ma ville, c'est-à-dire des sièges de plus en plus hauts directement face à une petite scène rectangulaire avec les gens d’ACO et des autres écoles d’ingénieurs, un peu comme les IA. Il y avait des représentations de danse, un mélange entre de la danse contemporaine et des POMPOM. Cela fonctionnait en couple, sur la scène chaque fille danse avec un garçon. Très belles danses. J’ai le souvenir d’une fille, l’archétype de la chearleader, blonde, peste, un peu comme dans Glee. La particularité de ce spectacle c’est qu’à la fin chaque fille devait aller avorter. Dans la salle jaune de l’aéroport. Ceci à cause du caractère trop sexuel de la représentation. Pourtant celle-ci ne parait pas du tout obscène ou autre.
On est dans le gymnase à ACO, passation des POMPOM aux 171. Julie, Aurélia et Justine présentaient notre ancienne chorégraphie aux nouvelles pompoms. Et là je leur présente les critiques que j’avais et des améliorations possibles notamment au niveau des acrobaties. Julie me propose alors d’être chef avec elles, responsable acrobaties. Je lui dis que c’est ce que je voulais au début de l’année.
Je me retrouve alors chef pompom pour les IA 2020, ellipse, on est dans la salle de spectacle, en représentation, je danse avec mon partenaire, cela se termine, je devrais me faire avorter, mais je n’ai pas accès au traitement. Là tout devient flou, la salle jaune, le médecin, la femme, l’absence de réaction, le regard des deux protagonistes.
Réveil.
C'était le grand jour, je prenais l'avion pour mon S7. J'arrive à l'aéroport, représenté par la gare SNCF de chez moi, avec ma valise et... mon matelas. Je l'avais pris sous la panique, ayant peur d'oublier quelque chose, d'en avoir besoin. Je me rends compte alors de ma stupidité. J'appelle alors Camille qui était à proximité de l'aéroport afin qu'elle vienne m'aider. Je dois d'abord essuyer un refus catégorique d'une Camille blasée par ma demande. Elle ne veut pas encombrer son appartement de mon matelas pendant si longtemps. Elle finit par accepter, face à mon stress et mon désespoir et à repartir chez elle mon matelas sur le dos.
Je dois désormais trouver ma porte pour gagner l'embarquement. Je suis des panneaux comme je peux, de longs couloirs, comme une galerie commerciale. J’arrive au bout de l’aéroport, au bout du couloir, la dernière cafétéria, d’ailleurs très bien représentée dans mon rêve : grande baie vitrée, orange, noir et blanche, très conviviale . Et le couloir se termine en donnant sur l’extérieur, une étendue d’herbe sur laquelle attendaient les passagers et un petit avion à hélice. Mon avion pour le Sri Lanka.
Je ne sais pas comment mais là je me retrouve dans une salle assez sombre, une salle isolée de l’aéroport, lumière jaune artificielle et trois personnes. Deux femmes et un homme, une des femmes était le visage fermé, presque triste, et sort de la salle. C’était une salle de médecin chirurgical. L’homme était le chirurgien, j’étais là en rendez-vous pour une augmentation mammaire. Il me présente alors les prothèses pour discuter de la taille. Ambiance oppressante, encore. La femme était juste là, un regard incernable, entre la compassion, jugement et sournoiserie.
A nouveau, changement. Je suis dans une salle de spectacle, représentée par la salle de fête de ma ville, c'est-à-dire des sièges de plus en plus hauts directement face à une petite scène rectangulaire avec les gens d’ACO et des autres écoles d’ingénieurs, un peu comme les IA. Il y avait des représentations de danse, un mélange entre de la danse contemporaine et des POMPOM. Cela fonctionnait en couple, sur la scène chaque fille danse avec un garçon. Très belles danses. J’ai le souvenir d’une fille, l’archétype de la chearleader, blonde, peste, un peu comme dans Glee. La particularité de ce spectacle c’est qu’à la fin chaque fille devait aller avorter. Dans la salle jaune de l’aéroport. Ceci à cause du caractère trop sexuel de la représentation. Pourtant celle-ci ne parait pas du tout obscène ou autre.
On est dans le gymnase à ACO, passation des POMPOM aux 171. Julie, Aurélia et Justine présentaient notre ancienne chorégraphie aux nouvelles pompoms. Et là je leur présente les critiques que j’avais et des améliorations possibles notamment au niveau des acrobaties. Julie me propose alors d’être chef avec elles, responsable acrobaties. Je lui dis que c’est ce que je voulais au début de l’année.
Je me retrouve alors chef pompom pour les IA 2020, ellipse, on est dans la salle de spectacle, en représentation, je danse avec mon partenaire, cela se termine, je devrais me faire avorter, mais je n’ai pas accès au traitement. Là tout devient flou, la salle jaune, le médecin, la femme, l’absence de réaction, le regard des deux protagonistes.
Réveil.
Océane- Messages : 53
Date d'inscription : 30/06/2019
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