Rêves : l'irresponsable
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02072019
Rêves : l'irresponsable
Vagues souvenirs, effacés par une journée éreintante.
On était tous à Riffault. Néanmoins l’aménagement et l’architecture se rapproche plus de celle de mon lycée, ou bien de celle d'une prison : des couloirs donnant d'un coté l'accès aux chambres, et de l'autre donnant sur le vide, tel une mezzanine. Tous les murs blancs, ou bleu très pastel. Ma chambre n'était pas rangée, du tout. Un petit évier en guise de salle de bain, qui débordait d'objets en tout genres. Il était l'heure pour nous 4 de partir en S7. Je parle ici de Arthur, Chloé et une tierce personne que dont je n'arrive plus à distinguer le visage. Cette tierce personne je crois peut s’apparenter à l’un des amis de Camille. Il nous venait tout droit d'APT. En effet sur le campus avait en ce moment même lieu un événement de rassemblement entre Paris et Rennes.
Bref, nous, nous étions pressés par le temps. Le départ était annoncé pour la fin de la semaine. Enfin… c’est ce que je croyais. Le midi nous sortons de l’établissement pour manger dans une enseigne extérieur. Il y a foule. Que des jeunes, d’APT principalement. Et je me retrouve chez l’ami de Camille. Je vais l’appeler Eude. Je me retrouve chez Eude avec d’autres amis d’ACO.
Cet endroit était représenté par la maison de vacances de Camille où je suis déjà allée.
Episode festif assez flou, dans le sens littéral. Des discussions au bord de l’escalier. On était 6 au maximum. Une vision du moment comme si il était en accéléré, les mouvements peu distinguables, pas de sons ou paroles concrètes : que des lèvres qui bougent. Cela ne me choquait pas pendant le rêve je ne le réalise que maintenant.
Réveil brutal le lendemain matin. Mon téléphone qui annonce plusieurs messages manqués d’Arthur et Chloé qui me demandent où je suis et pourquoi je ne suis pas dans le bus. Il était 11h45 du matin, et j’ai peur. J’étais persuadée que mon premier départ pour l’Afrique était bien plus tard et que j’avais le temps pour préparer mes affaires.
Je dis 1er départ car dans mon rêve le stage se sépare en 2 voyages. J’allais 2 fois en Afrique : une première semaine puis un long voyage.
Je panique. Si c’est vrai, j’ai raté mon départ. Ma plus grande peur à ce moment là c’est de l’annoncer à ma mère. Déçue, énervée, blasée, elle appuierait sur le fait que je ne suis qu’une enfant irresponsable qui ne sait anticiper. Qui ne sait se gérer. Un moment effrayant pour une enfant qui ne cesse de vouloir rendre sa maman fière.
J’essaye tant bien que mal de faire mes valises, et ce même si je sais que c’est en vain. Il est trop tard. Je suis dans tous mes états. Stressée, dépitée, apeurée, les larmes aux bords des yeux. J’envoie des messages comme je peux a mes deux amis. J’essaye de trouver une solution mais c’est sans espoir. Je commence même à croire qu’il n’y avait pas deux mais un seul départ. Que j’ai donc raté mon S7. Que je suis doublement accusable et fautive. Ma mère avait raison, je suis mauvaise et ne sais pas gérer. Je suis une enfant.
Un message d’Arthur et Chloé. Une photo d’eux, dans le bus (oui, dans mon rêve on allait en Afrique en bus), grand sourire d’Arthur, une moue de Chloé. L’expression de celle-ci illustre un désaccord, comme si elle ne voulait pas être identifiée aux propos que s’apprête à tenir Arthur
« Non mais on voulait pas que ça te mette dans tout tes états à ce point. C’était simplement censé être une petite blague ! »
Mon visage se décompose, essaye de comprendre l’étendue de ces propos et mettant un instant de coté ma panique, je comprends alors.
Réveil
On était tous à Riffault. Néanmoins l’aménagement et l’architecture se rapproche plus de celle de mon lycée, ou bien de celle d'une prison : des couloirs donnant d'un coté l'accès aux chambres, et de l'autre donnant sur le vide, tel une mezzanine. Tous les murs blancs, ou bleu très pastel. Ma chambre n'était pas rangée, du tout. Un petit évier en guise de salle de bain, qui débordait d'objets en tout genres. Il était l'heure pour nous 4 de partir en S7. Je parle ici de Arthur, Chloé et une tierce personne que dont je n'arrive plus à distinguer le visage. Cette tierce personne je crois peut s’apparenter à l’un des amis de Camille. Il nous venait tout droit d'APT. En effet sur le campus avait en ce moment même lieu un événement de rassemblement entre Paris et Rennes.
Bref, nous, nous étions pressés par le temps. Le départ était annoncé pour la fin de la semaine. Enfin… c’est ce que je croyais. Le midi nous sortons de l’établissement pour manger dans une enseigne extérieur. Il y a foule. Que des jeunes, d’APT principalement. Et je me retrouve chez l’ami de Camille. Je vais l’appeler Eude. Je me retrouve chez Eude avec d’autres amis d’ACO.
Cet endroit était représenté par la maison de vacances de Camille où je suis déjà allée.
Episode festif assez flou, dans le sens littéral. Des discussions au bord de l’escalier. On était 6 au maximum. Une vision du moment comme si il était en accéléré, les mouvements peu distinguables, pas de sons ou paroles concrètes : que des lèvres qui bougent. Cela ne me choquait pas pendant le rêve je ne le réalise que maintenant.
Réveil brutal le lendemain matin. Mon téléphone qui annonce plusieurs messages manqués d’Arthur et Chloé qui me demandent où je suis et pourquoi je ne suis pas dans le bus. Il était 11h45 du matin, et j’ai peur. J’étais persuadée que mon premier départ pour l’Afrique était bien plus tard et que j’avais le temps pour préparer mes affaires.
Je dis 1er départ car dans mon rêve le stage se sépare en 2 voyages. J’allais 2 fois en Afrique : une première semaine puis un long voyage.
Je panique. Si c’est vrai, j’ai raté mon départ. Ma plus grande peur à ce moment là c’est de l’annoncer à ma mère. Déçue, énervée, blasée, elle appuierait sur le fait que je ne suis qu’une enfant irresponsable qui ne sait anticiper. Qui ne sait se gérer. Un moment effrayant pour une enfant qui ne cesse de vouloir rendre sa maman fière.
J’essaye tant bien que mal de faire mes valises, et ce même si je sais que c’est en vain. Il est trop tard. Je suis dans tous mes états. Stressée, dépitée, apeurée, les larmes aux bords des yeux. J’envoie des messages comme je peux a mes deux amis. J’essaye de trouver une solution mais c’est sans espoir. Je commence même à croire qu’il n’y avait pas deux mais un seul départ. Que j’ai donc raté mon S7. Que je suis doublement accusable et fautive. Ma mère avait raison, je suis mauvaise et ne sais pas gérer. Je suis une enfant.
Un message d’Arthur et Chloé. Une photo d’eux, dans le bus (oui, dans mon rêve on allait en Afrique en bus), grand sourire d’Arthur, une moue de Chloé. L’expression de celle-ci illustre un désaccord, comme si elle ne voulait pas être identifiée aux propos que s’apprête à tenir Arthur
« Non mais on voulait pas que ça te mette dans tout tes états à ce point. C’était simplement censé être une petite blague ! »
Mon visage se décompose, essaye de comprendre l’étendue de ces propos et mettant un instant de coté ma panique, je comprends alors.
Réveil
Océane- Messages : 53
Date d'inscription : 30/06/2019
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